Petits mots d'auteurs. Deuxième partie.

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Petits mots d'auteurs.

Deuxième partie. 


    Voilà la seconde partie des petits mots d'auteurs. Pour ceux qui se demandent où est la première partie, c'est par ici. Avant de commencer à vous parler des différents témoignages reçus, j'aimerais vraiment vous réitérer ce que j'espère de cet article : qu'il aide. 
    Après avoir terminer mes nouvelles, je les ai envoyé à des nombreuses maisons d'éditions, comme je le racontais dans mon article au sujet de mon propre parcours. Peut-être n'ai-je pas assez fouiller le net, et sans doute n'ai-je pas eu l'idée de chercher des conseils ailleurs, toujours est-il que je me dis qu'un article de ce genre aurait sans doute pu m'aider. 

    En fait, c'est le cas ! Je vous en parlerai dans un prochain article, mais le fait d'avoir travailler avec d'autres auteurs et d'avoir découvert leurs parcours, ça m'as aiguiller dans une nouvelle direction pour Reagan, mon tout premier roman. 
   Je compte dédier un nouvel article au sujet du chemin de ce roman, et notamment de vous expliquer mon choix et comment je l'ai fait d'ailleurs. 

   Dame L'enchanteuse.

   Si vous avez lu ma dernière critique sur son roman, vous savez donc à quel point j'aime son travail. Et c'est d'ailleurs quelque chose de très bien d'être amie avec des auteurs qu'on aime, puisque ça donne une nouvelle dimension à son travail. 
   Enfin, je vous laisse avec son témoignage au sujet de ce fameux roman : 

    Tout a commencé il y a 10 ans, je n'avais plus de livre à lire et j'me suis dit, pourquoi pas écrire le mien. Après tout, je ne manque pas d'imagination . J'avoue que dans les premiers temps, écrire s'avère la galère, car plusieurs idées fusent et se suivent pas forcément dans le bon ordre. J'ai commencé à écrire mon livre sur des cahiers, mais les feuilles étaient le plus souvent pleine de ratures mais c'était le début. 
Ensuite en travaillant un peu tous les jours mon debut d histoire, les éléments ce sont enchaînés les uns après les autres tout seul pour au final avoir une premiere version que je trouvais convenable à donner à lire à des lecteurs bêta. Les retours ont été constructifs et un commentaire revenait sans cesse, les fautes d'orthographe. Aïe! Alors hop ni une ni deux on retravaille les points qui ne sont pas bon et de nouveau on se sens fier de son oeuvre si durement travailler. Vient ensuite, la plus dur des décision, est ce que je vais l'éditer ou je le sors juste pour moi et mes amis. Je choisi de prendre le risque de la diffusion à grande échelle, après tout, mon livre a plus aux lecteurs bêta qui ne compter pas que mes proches. Je decide de tenter le coup 4 ans après la première version, de l'envoyer à une grande maison d'édition mais dur a été la chute. Ils m'ont simplement envoyé une jolie lettre type de refus. Blessé dans mon ego, j'abandonne l'idée de le sortir et encore meme de finir le tome 2 que j'avais très très avancé. 
Je reste donc 6 années à ruminer dans mon coin, cherchant un autre moyen que la publication dans des maisons dite à compte d'auteur, car niveau avance d'argent j ai pas vraiment les moyens.Alors, je patiente et patiente car après tout je veux donner une chance à mon roman d'être lu. 
Et c'est l'année dernière que la chance ce présenta sous la forme de l'édition alternative. Allez, je tente le coup et l'envoie 2 semaines avant mon anniversaire. Et là, miracle... il est accepté. Euphorique je me dis enfin, les gens vont pouvoir le voir mais tout n'est pas rose et on me laisse seule dans la partie la plus dure après l'écriture qui est la promotion. Retour en 1 saut à la case départ. Mais je ne me laisse pas abattre et meme si ce n'est que 9 mois après que je me lance dans la phase promo, je sais que mon livre peut plaire à certaines personnes

    Nikki Jenkins

    Vous pouvez également la retrouver sur son profil Facebook, si l'envie vous prend de la contacter directement. 
Son témoignage est riche, notamment grâce à ses parcours multiples pour ses différents livre. Et j'espère que celui-ci répondra à suffisamment de questions. 

En 2014, l'idée de mettre mes idées par écrit et d'en faire des livres est revenue sur le devant de mon esprit en discutant avec des personnes concernant l'autoédition. J'ai donc commencé à écrire le tome 1 de ma saga Aégius : l'héritage. J'ai créé un compte facebook pour discuter de mes progrès, m'organiser un réseau et partager autour de cette nouvelle expérience. J'ai choisi parmi mes proches des bétas-lectrices qui n'ont pas leur langue dans leur poche.

Le premier jet a été terminé en octobre 2014. La question du mode de publication s'est posé. J'ai donc envoyé mon livre à certaines maisons d'édition.
Les contrats reçus n'étaient qu'à compte d'auteur. Pour moi, pas question de payer pour être édité. La plupart des grandes ME refusaient les envoie par mail, ce qui a réduit ma liste . J'ai donc opté pour l'autoédition. Lulu.com n'était pas une solution pour moi car, à l'époque, la vente sur amazon en utlisant ce site n'était que pour les livres anglais. Une auteure avait eu des problèmes avec BOD, je n'avais donc pas envie de me lancer avec eux. Quand à Edilivre, après avoir jeté un coup d'oeil et demander l'avis d'autres auteurs, j'ai préféré ne pas les sollisciter à cause des tarifs de ventes pratiqués qui, pour moi, étaient trop élevé.
La solution a été de publier via amazon directement. Leur outil KDP est facile d'utilisation et en français.
J'ai cherché des tutoriels pour la mise en page de mon livre. La première version est sortie via amazon et kobo ( fnac ) en octobre 2014. Les retours ont été, pour la plupart, positifs que ce soit sur amazon ou sur les sites de classements comme babelio, booknode..
Pour me faire connaître, j'ai épluché les blogs de chroniques et j'ai fourni mon livre pour des services presses. J'ai aussi organisé des concours sur ma page.
Grâce à des amies auteurs qui avaient déjà une expérience sur createspace, j'ai réussi à ma familiarisé avec le logiciel d'amazon pour l'impression de mon livre en format papier. ( interface en anglais )
Constat : Aucune vente sur kobo. Au bout d'un mois, j'ai retiré le livre de cette plateforme pour le mettre exclusivement sur amazon et ainsi bénéficier de l'option KDP select. La version papier a eu très peu de succès mais certains lecteurs n'aiment pas le numérique.
Le tome 2 de la saga est sorti en mai 2015. Il a bénéficié du même circuit de vente que le tome 1, c'est à dire exclusivement amazon, et a reçu aussi de très bonnes critiques.
Suite à des retours, une nouvelle version du tome 1 avec une nouvelle couverture et une nouvelle correction est sorti.
En août 2015, une romance fantastique a rejoint les rangs d'amazon. Across m'a aidé à avoir un nouveau public.
En ayant un pied dans le milieu, j'ai découvert de nouvelles maisons d'édition, et après envoi du manuscrit du tome 1 à l'une d'entre elles, j'ai été signé.
La saga Aégius est en cours de réedition chez Reines-Beaux et d'autres récits sont en cours d'écritures.

S'autoéditer est aujourd'hui de plus en plus facile et sans avoir besoin d'intermédiaire autre que les plateforme de ventes. L'auteur a une totale liberté, définit lui-même son prix de vente, peut offrir son livre à des chroniqueuses ou lors de concours sans avoir de compte à rendre, peut faire des promotions.... Même si la concurrence est rude, c'est un bon moyen de se faire connaître.
S'autoéditer ne signifie pas forcément tout faire seul.. Des graphistes freelances acceptent de faire des couvertures, de même que des montages pour des marques pages... De même, pour la correction, l'auteur peut se faire aider de logiciel tel qu'Antidote ou par des correcteurs professionnels.
Une couverture et le résumé sont les premières chose que le lecteur voient. Il ne faut pas les négliger. SI vous n'avez pas la possibilité de faire appel à un graphiste, il existe les banques d'images libres de droits ( fotolia, 123rf) qui permettent d'avoir des images pour des couvertures à prix très raisonnaibles.
Un petit conseil : Ecrivez en priorité pour vous. Si vous n'êtes pas très à l'aise avec l'érotisme, ne vous lancez pas dans un livre à la "50 nuances de grey" juste parce que c'est la mode. Cela se ressentira dans l'écriture et dans l'histoire. Et ne vous cantonnez pas forcément à un genre. Si vous avez envie d'écrire de la romance mais aussi un livre policier, rien ne vous y en empêche. Vous êtes libre :)
  

  Sophia Laurent 

   Un témoignage davantage centré sur sa manière d'écrire, ce qui fait la force de son texte et de ses lignes. Je vous l'avais dit : il y a de tout. Autant des conseils pour l'édition que pour l'écriture, le but de ces articles étant d'inspirer, d'aider ou de motiver des jeunes écrivains qui hésiteraient encore à se lancer dans le monde de l'écriture. 
Vous pouvez également la retrouver sur sa page auteur Amazon

Tout commence par quelques mots… vous aimez écrire, vous avez envie de coucher sur papier les quelques idées qui vous traînent dans la tête, et vous finissez avec un roman sur les bras. Du moins, c’est comme cela que je suis devenue auteur.
Moi qui pensais ne pas être capable d’écrire dix lignes à la suite, j’ai réalisé tardivement (après avoir soufflé mes vingt bougies), que j’étais amoureuse de l’écriture. C’est une passion qui a commencé en écrivant des épisodes fictifs sur ma série préférée, et qui se poursuit aujourd’hui par l’intermédiaire de quatre romans, bientôt cinq (et ce n’est que le début…).
Alors, j’ai écrit dix lignes de Sun Bartas. Puis vingt. Puis cent… Et ma nouvelle est devenue un roman. Mon roman a eu des frères et sœurs…
Sun, Peter, Alex… ce sont mes bébés et j’en suis fière. Etre auteur, c’est inventer des personnages et leur donner une âme. C’est passionnant. Sun incarne la folie, la joie. Peter est plus réfractaire, solitaire. Et Alex… Alex est un adolescent qui doit faire face à la dure réalité d’un monde en proie au chaos, qui se découvre petit à petit. Ils ont tous leur caractère, et chacun se construit en fonction de celui-ci. Parce qu’un roman ne se construit pas sans avoir établi un personnage, sans le connaître.
Un roman, c’est des personnages, un univers, et une intrigue. C’est peut-être le plus difficile à trouver. Le reste n’est que patience et passion.
Si je devais résumer cette année, j’utiliserais quatre mots : investissement, temps, amusement et avis.
Parce qu’écrire un roman demande de l’investissement, et de l’investissement demande autant de passion, que de temps et d’amusement. Il faut aimer ce que l’on fait, et vouloir aller jusqu’au bout. Un roman ne s’écrira pas en deux jours (à moins que vous soyez vraiment très, mais très très fort), et il vous demandera beaucoup de soirées, beaucoup de week-ends, beaucoup d’heures. Alors, il faut le vouloir, s’amuser, s’éclater dans ce que l’on fait. Si vos personnages et vos histoires ne vous intéressent pas, ils n’intéresseront pas vos lecteurs.
Avis parce que cette année s’est également traduite par mes premiers lecteurs, mes premiers avis, mes premiers échanges avec vous. Et quel bonheur… C’est un régal de voir ses personnages à travers vos yeux, vos réactions, vos commentaires. Ils vivent par votre intermédiaire, d’autant plus que par celui de l’auteur.
Je suis auteur parce que je m’amuse à l’être. Et j’espère que mes lecteurs s’amusent avec les vies que je fais naître…
Merci de m’avoir lu !


   Lena Walker. 

  Comme Julie JKR ( dont je vous parle dans la première partie. ) et Sophia Laurent, elle est une auteure auto-édité. Si vous vous tenez au courant des dernières nouveautés littéraires, ou si vous suivez ce genre de compte sur Twitter, vous avez dû vous en rendre compte : l'auto-édition prend de l'ampleur. Ca permet à tout le monde ( et même n'importe qui, hélas ) de faire publier son propre livre. 
Le monde de l'auto-édition regorge à la fois de quelques pépites qui se distinguent par leurs plumes et par leur style mais également de catastrophe littéraire. Au vue des retours sur son Twitter, Lena Walker ( ainsi que les deux autres auteurs dont je parle plus haut ) font parties de la première catégorie. 

Bonjour, tout d’abord merci de me permettre de m’accueillir sur votre blog. 
J’ai autoédité un roman de Science-Fiction Young Adult sur la plateforme Amazon KDP Select. Lorsque j’ai fini d’écrire Beyond, j’étais tellement impatiente d’avoir les avis de lecteurs que je n’ai pas voulu envoyer mon manuscrit à des maisons d’édition. Je me disais que cela allait prendre des mois avant d’avoir un retour. J’ai donc choisi l’autoédition. Je ne regrette pas. 
Beyond est en exclusivité sur Amazon, en échange le site me propose certains outils de promotion comme l’offre éclair où j’ai vendu presque 300 ebooks en un seul jour. Cela m’a permis de monter dans les classements et d’être visibles auprès des lecteurs. Les retours de ces derniers sont, à ma grande surprise, très positifs, ce qui m’encourage énormément à poursuivre l’écriture. 
L’autoédition est une aventure formidable que je conseille à tout le monde mais c’est un monde aussi difficile. Il faut savoir que les lecteurs sont – à juste titre – très exigeants, il faut donc présenter un texte parfait sans faute d’orthographe. C’est souvent ce qu’on reproche aux auteurs indépendants. Il faut aussi s’armer de patience et compter sur le bouche à oreilles et ne pas se décourager, considérer les commentaires négatifs comme des critiques constructives. Surtout ne négligez pas la promotion du livre, c’est très important, on parle d’auteur auto-entrepreneur, cette image est assez juste. 
En revanche, je ne vous cache pas que j’espère aujourd’hui trouver une maison d’édition pour pouvoir être plus accessible et toucher un plus grand nombre de lecteurs, sachant que ma cible ne lit pas trop en format numérique. Beyond existe en broché, mais certains m’écrivent en me demandant pourquoi ils ne trouvent pas mon livre en librairie ou à la FNAC. Un jour peut-être… Un rêve qui deviendrait réalité !


Salomé Rodier. 

   Salomé est à la fois une bloggueuse et une auteure que j'ai rencontré lors de mes premières promotions. Au moment où je recherchais des critiques littéraires pour parler de ma nouvelle. Son premier roman intitulé " Alice n'était pas une merveille " sortira bientôt aux éditions Netbook.
Vous pouvez également la retrouver sur sa page Facebook

Je suis née avec le désir d’écrire. Je crois qu’il y a eu de moments majeurs où j’ai réalisé que les mots allaient faire partie de ma vie. La première fois, c’était lors des sorties des films Disney. Mon père m’achetait souvent le livre du film, avec illustrations. Je m’installais dans l’atelier de ma mère, je posais le livre ouvert et je recopiais minutieusement. « Je veux devenir écrivain ». Cela me paraissait clair, j’adorais sentir les livres neufs, la texture de la page sur mes doigts, j’étais vraiment petite à l’époque. Ensuite, c’est en CM2, lorsque nous avons étudié le Petit Prince. J’ai attendu avec impatience l’arrivée du colis. Quand enfin, j’ai tenu le mien entre mes mains, je l’ai contemplé et reniflé pendant des heures. L’édition, était en papier blanc, si doux, si épais, j’adorais son odeur et puis, après ça… j’ai lu. 
J’ai commencé à vraiment écrire à 16 ans. D’abord des petits textes, une ébauches de roman et ensuite des nouvelles. Mon premier livre, j’ai mis du temps à l’achever. Ce que j’écris aujourd’hui est très différent mais chacun de mes travaux sont importants et reflètent une période de mon acheminement. Ce qui est certain, c’est que je n’ai jamais transigé. Cela n’a pas été facile. Ce n’est toujours pas facile, de devoir se faire accepter par les autres quand on est écrivain. Le pire ce n’est pas les autres mais c’est soi-même. Est-ce que la qualité de mon écriture est assez bonne ? Comment vais-je faire pour en vivre ? Je dois écrire, je n’ai pas le choix mais comment procéder ? Tant de questions, tant de difficultés à s’assumer, face à une société qui souvent, nous bride dans ses schémas un peu trop clichés. 
Bref, je me suis toujours débrouillée, je fais autrement que les autres, je passe par des moments d’écriture totale et d’autres plus brouillons mais j’en vis. Pourtant, ce n’est pas comme ça que je gagne ma vie, pas pour l’instant. J’ai ma propre recette, je suis auto-entrepreneuse et écrivain. Il faut faire des choix, ne pas se laisser convaincre par la facilité, parce que pour moi, c’est la seule façon de gagner le bonheur et de se bonifier avec l’âge.

   Voilà ! Le parcours de ce petit article qui, au final, est devenue deux gros articles s'achève ici. Je tiens à remercier, sincèrement, les auteurs qui se sont prêtés au jeu en participant, re-tweetant et partageant cet article à tour de bras. Grâce à eux et grâce aux lecteurs de ce blog, ils ont pris des proportions énormes ! Le premier à fait plus de 600 entrées en quelques jours à peine, et j'espère que celui-ci atteindra le même point. 
   L'idée première est de vous aider, vous, les petits écrivains en herbe derrière vos écrans qui hésitent encore, qui ne savent pas où donner de la tête quand de nombreux éditeurs naissent sur Internet et ailleurs. Cet article m'a moi-même aidé, j'avais une fausse image de l'auto-édition qui s'est éclaircie grâce aux contacts que j'ai eu avec les auteurs indé. 

  Mon blog, à la base, était là pour m'aider dans la promo de mes nouvelles. Parce que j'aime être présente et parler à ceux qui viennent me lire, je me suis dit qu'un blog qui raconterais toute sorte de choses à mon sujet serait intéressant. Et puis ça a pris une nouvelle tournure : mettre à disposition de tous des conseils, des messages ou justes des petits mots qui peuvent aider. Je l'ai dit et le redit, si j'avais un peu chercher au moment de la recherche de mon éditeur, je n'aurais pas fait certaines erreurs que j'ai malheureusement commises. J'aimerais que personne ne fasse les mêmes, que de jeunes auteurs naïfs ne se retrouvent pas, malgré eux, dans des maisons éditions abusives qui ne cherchent qu'à recueillir de l'argent sur le dos d'honnêtes personnes qui travaillent pour leurs livres. 
Mais également, je voulais aider pour écrire. Ca m'est arrivé, parfois, d'avoir envie d'abandonner mon premier roman et j'ai gardé une chose en tête : avec le nombre de personnes à qui j'en avais parler, des étoiles dans les yeux devant les promesses de réussites de mon bébé, je ne pouvais pas laisser tomber. Je me suis accrochée jusqu'à la fin et un jour ou l'autre, il sortira. Je ne vous en dis pas plus pour ça : un article en parlera. 

  Alors voilà : un gros pavé pour vous dire merci et pour vous expliquer pourquoi j'ai fait ça. Sans doute, ce voyage dans les témoignages d'auteurs n'aurait pas été possibles s'ils n'avaient pas été là pour répondre à mon appel, alors je leur dis merci à eux aussi. Surtout, allez voir ce qu'ils font, tout ça vaut le coup ! Parce que je me suis adressée à ceux qui savent ce qu'ils font et pas à ceux qui se sont fait publiés ou se sont auto-publiés sans savoir réellement quoi faire. 
  Enfin bref juste : merci. 

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